Pauline Jaricot arpente la France entière pour collecter des fonds et rembourser la dette liée à l’usine de Rustrel, qu’elle s’est personnellement engagée à honorer. Les années 1849, 1850 et les suivantes sont consacrées à de nombreux voyages pour faire appel à des donateurs. Elle est parfois vivement rejetée au sein même de l’Église.
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