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4e dimanche de carême 2021 : pour une écologie intégrale

4e dimanche de carême 2021 : pour une écologie intégrale

En lien avec le parcours de carême 2021 “Joie de vivre”, nous vous proposons de vivre une conversion écologique intégrale et joyeuse durant le temps propice du carême, à l’écoute de l’encyclique Laudato Si’.

Ce parcours se déroule en cinq rencontres hebdomadaires correspondant aux cinq premières semaines du carême entre le 22 février et le 26 mars 2021. Même s’il peut être vécu seul, le parcours est fait pour être vécu en fraternités de 6-8 personnes, en présentiel ou en visio.

Voici comment se déroule une rencontre :

  • Un ou deux chants de louange, un chant à l’Esprit Saint, une prière à voix haute, un Notre Père ou un Je vous Salue Marie
  • Lecture du passage extrait du chapitre étudié de l’encyclique
  • Temps d’enseignement en vidéo sur le chapitre
  • Après la vidéo, temps de silence, puis partage
  • Temps convivial/échange

La racine humaine de la crise écologique

155 L’écologie humaine implique aussi quelque chose de très profond : la relation de la vie de l’être humain avec la loi morale inscrite dans sa propre nature, relation nécessaire pour pouvoir créer un environnement plusdigne. Benoît XVI affirmait qu’il existe une ‘‘écologie de l’homme’’ parce que «l’homme aussi possède une nature qu’il doit respecter et qu’il ne peut manipuler à volonté ». Dans ce sens, il faut reconnaître que notre propre corps nous met en relation directe avec l’environnement et avec les autres êtres vivants. L’acceptation de son propre corps comme don de Dieu est nécessaire pour accueillir et pour accepter le monde tout entier comme don du Père et maison commune ; tandis qu’une logique de domination sur son propre corps devient une logique, parfois subtile, de domination sur la création. Apprendre à recevoir son propre corps, à en prendre soin et à en respecter les significations, est essentiel pour une vraie écologie humaine. La valorisation de son propre corps dans sa féminité ou dans sa masculinité est aussi nécessaire pour pouvoir se reconnaître soi-même dans la rencontre avec celui qui est différent. De cette manière, il est possible d’accepter joyeusement le don spécifique de l’autre, homme ou femme, oeuvre du Dieu créateur, et de s’enrichir réciproquement. Par conséquent, l’attitude qui prétend «effacer la différence sexuelle parce qu’elle ne sait plus s’y confronter», n’est pas saine.

Un mot / une phrase qui résonne ? ce qui me touche dans ce passage ? 


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