Publié le 19 octobre 2017
Avec Tugdual Derville, du Courant pour une Écologie Humaine, Association Alliance Vita.
« Il n’y a pas d’écologie sans anthropologie adéquate » (Laudato si’ 118). Ajuster et apaiser notre relation avec le reste de la création nécessite pour l’homme de savoir « qui il est » afin de considérer « tout l’homme et tous les hommes », c’est à dire l’homme dans toutes ses dimensions, sans l’amputer d’aucune ni exclure personne.
Animé par cette conviction, le Courant pour une Écologie Humaine propose trois critères : une posture de bienveillance, le développement des communs et le consentement à la vulnérabilité, pour baliser le chemin d’une transition écologique « humanisante ».