Publié le 18 février 2019
Notre grand projet donne l’occasion aux paroissiens de connaître un « réveil missionnaire ».
Les rencontres en petits groupes dans les maisons permettent de vivre une forte expérience fraternelle. Le but étant de proposer à chacun l’occasion de pouvoir, d’une façon moderne en toute convivialité, partager sa foi simplement.
Des petits groupes de 3 à 12 personnes sont proposés à tout le monde, paroissiens de longue date ou ceux qui ne mettent pas les pieds dans une église.
Ils sont constitués par un hôte qui reçoit chez lui, les personnes qu’il a choisi dans son entourage (famille, amis, travail, …) mais aussi dans la paroisse ou autre, pour un temps de partage.
Dans une atmosphère conviviale autour d’une vidéo, les rencontres se déroulent une fois par semaine.
L’accessibilité des témoignages donne l’occasion à tout un chacun de s’exprimer quel que soit son état spirituel. Le principe du partage permet à tous de s’exprimer sans débat sous le regard de Dieu.
L’accès aux vidéos se fait par le site Newpastoral.net qui propose un kit (textes et vidéos) accessible suite à l’inscription gratuite de la paroisse.
Permettre aux paroissiens de vivre pleinement la fraternité communautaire.
Tisser des liens qui permettront à tous de « n’avoir plus peur » et d’oser sortir vers les périphéries.
Proposer aux plus éloignés la grâce de connaitre Notre Seigneur Jésus Christ.
Propositions pour la suite :
Relancer le projet pour l’Avent afin de multiplier les groupes et d’ouvrir d’avantage aux personnes extérieures. Certains hôtes et d’anciens participants recommenceront pour accueillir de nouveaux participants.
La maîtrise du projet va permettre une plus grande ouverture.
Chaque année dans notre diocèse, de nombreuses initiatives sont portées pour célébrer la fête de l’Immaculée Conception le 8 décembre. Autour de cette fête, ce sont également des temps de mission, de rencontre, de fraternité et de partage qui se vivent.
Pauline Jaricot arpente la France entière pour collecter des fonds et rembourser la dette liée à l’usine de Rustrel, qu’elle s’est personnellement engagée à honorer. Les années 1849, 1850 et les suivantes sont consacrées à de nombreux voyages pour faire appel à des donateurs. Elle est parfois vivement rejetée au sein même de l’Église.