Publié le 19 février 2019
Avant le lancement d’une série de projets indirectement pastoraux, deux questions se sont posées :
Notre réponse à ces deux questions n’était d’abord pas religieuse : elle était sociale et culturelle.
Le but est de se rencontrer, passer un temps ensemble, tisser des liens, être présents « au milieu de ce monde » en tant que disciples du Christ.
C’est une série d’événements : soirées rock, concours de belote, brocantes (dont la plus spectaculaire fut la vente d’objets de l’hôtel Ritz de Paris), marchés de Noël et de printemps, barbecues paroissiaux, création d’une chorale gospel, restauration du patrimoine local, diner de gala dans un restaurant étoilé.
Avec qui ?
Ce sont des paroissiens, leurs amis et connaissances, pas forcément pratiquants réguliers… et toutes les personnes de bonne volonté qui se greffent à un projet car le sujet les intéresse.
Où ?
Sur le territoire de notre paroisse (on essaye de toucher les 9 villages de la paroisse).
Quand ?
A priori une fois par an. Quant à la chorale Gospel, elle se retrouve tous les 15 jours.
Le point délicat est toujours le passage d’une activité « laïque » (culturelle, ludique, sociale) à la vie de foi régulière.
Chaque année dans notre diocèse, de nombreuses initiatives sont portées pour célébrer la fête de l’Immaculée Conception le 8 décembre. Autour de cette fête, ce sont également des temps de mission, de rencontre, de fraternité et de partage qui se vivent.
Pauline Jaricot arpente la France entière pour collecter des fonds et rembourser la dette liée à l’usine de Rustrel, qu’elle s’est personnellement engagée à honorer. Les années 1849, 1850 et les suivantes sont consacrées à de nombreux voyages pour faire appel à des donateurs. Elle est parfois vivement rejetée au sein même de l’Église.