Publié le 20 février 2019
Célébrer la messe pour les défunts du mois avec un temps convivial avec les conducteurs des célébrations et une invitation à rejoindre le groupe « thé ou café » qui veut rejoindre les veufs ou les veuves et leur offrir un lieu de parole et d’espérance chrétienne.
Le troisième vendredi du mois lors de la messe hebdomadaire en la collégiale Notre-Dame des Marais, est célébrée la messe mensuelle pour les défunts.
Cette messe est préparée et animée par l’équipe des laïcs qui accompagnent les familles en deuil et qui célèbrent les obsèques.
Lors de cette préparation il est indiqué aux familles que la messe sera célébrée aux intentions du défunt le WE suivant mais aussi le troisième vendredi du mois et qu’ils y sont invités.
La semaine qui précède la célébration chaque famille est contactée par la personnes qui les a accompagnés et qui à célébré les obsèques de leur défunt.
A cette messe les noms sont mentionnés et une prière universelle est prévue.
Le prédicateur tente une nouvelle fois de proclamer l’espérance chrétienne.
A l’issu de la célébration un temps convivial sur place est organisé type apéritif. C’est l’occasion de prendre des nouvelles et bien souvent de recevoir des remerciements.
A cette messe il y a aussi la présence de l’animateur du projet « thé ou café » qui anime un groupe de parole spécifiquement orienté vers les veufs ou veuves et ou l’espérance chrétienne est le sujet central de ces rencontres.
Développer la présence des animateurs « thé ou café ».
Mieux assurer le suivi des familles en deuil et l’invitation à la messe mensuelle.
Jorge Jimenez paroisse.calades@wanadoo.fr
04 74 60 05 17
Chaque année dans notre diocèse, de nombreuses initiatives sont portées pour célébrer la fête de l’Immaculée Conception le 8 décembre. Autour de cette fête, ce sont également des temps de mission, de rencontre, de fraternité et de partage qui se vivent.
Pauline Jaricot arpente la France entière pour collecter des fonds et rembourser la dette liée à l’usine de Rustrel, qu’elle s’est personnellement engagée à honorer. Les années 1849, 1850 et les suivantes sont consacrées à de nombreux voyages pour faire appel à des donateurs. Elle est parfois vivement rejetée au sein même de l’Église.